Marie-Soleil Bigras
Issue
Essai sur le monde 02, la chambre.
L'intention;Espace fabriqué, espace mental, traduire l'émotion, figer la métaphore, investir l'espace d'un nouveau sens et matérialiser ce qui est de l'ordre de la sensation.
Je souhaite approfondir une réflexion sur les termes d'installation et de mise en espace, réfléchir à des stratégies afin de retenir le spectateur et créer des espaces qui captent son attention. Les aspects qui guideront le travail implique : l'investissement d'un site, la mise en scène d'éléments graphiques et l'intégration de divers dispositifs, le tout canalisé afin de permettre au spectateur comme corps percevant d'être mis en situation avec l'œuvre et intégré à celle-ci. Le site lui-même sera, dans un premier temps, recomposé. Des murs, un plafond et un plancher seront installés à même la pièce originale afin de rendre visible l'espace fabriqué. Le lieu de l'œuvre, divisé de celui de l’exposition met le spectateur face à une sorte de tableau vivant dans lequel il peut entrer et ainsi se détourner de la réalité, et faire l'expérience de l'espace.
À l’intérieur de cette espace fabriqué, se trouveront deux pièces. Dans la première (accessible au visiteur et habillée de papiers ) les murs convergent, l’espace rétrécie, l’angle des murs nous guide vers une ouverture au fond de la pièce, au seuil d’un autre espace. L’ouverture est trop étroite pour passer de l’autre coté. On peut seulement entrevoir la seconde pièce, l’imaginer, on peut sentir qu’elle existe mais on ne peut en faire l’expérience.
Je souhaite approfondir une réflexion sur les termes d'installation et de mise en espace, réfléchir à des stratégies afin de retenir le spectateur et créer des espaces qui captent son attention. Les aspects qui guideront le travail implique : l'investissement d'un site, la mise en scène d'éléments graphiques et l'intégration de divers dispositifs, le tout canalisé afin de permettre au spectateur comme corps percevant d'être mis en situation avec l'œuvre et intégré à celle-ci. Le site lui-même sera, dans un premier temps, recomposé. Des murs, un plafond et un plancher seront installés à même la pièce originale afin de rendre visible l'espace fabriqué. Le lieu de l'œuvre, divisé de celui de l’exposition met le spectateur face à une sorte de tableau vivant dans lequel il peut entrer et ainsi se détourner de la réalité, et faire l'expérience de l'espace.
À l’intérieur de cette espace fabriqué, se trouveront deux pièces. Dans la première (accessible au visiteur et habillée de papiers ) les murs convergent, l’espace rétrécie, l’angle des murs nous guide vers une ouverture au fond de la pièce, au seuil d’un autre espace. L’ouverture est trop étroite pour passer de l’autre coté. On peut seulement entrevoir la seconde pièce, l’imaginer, on peut sentir qu’elle existe mais on ne peut en faire l’expérience.